jeudi 31 décembre 2009

Salon de l'Immobilier Simexpo 2010 à Rotterdam

Après le succès de la troisième édition du salon de l'Immobilier Simexpo 2009 à Amsterdam, l’organisation de la 4ème édition Simexpo 2010, réunira à nouveau les professionnels de l’immobilier et nombre de visiteurs durant 3 jours, et ce du 26 au 28 février 2010 au WTC (World Trade Center) à Rotterdam.
Ce salon se déroulera en plein centre de la ville, à 300 mètres de la gare central avec plusieurs lignes de tram et bus passent devant le World Trade Center. Plusieurs hôtels, magasins de luxe, centre commerciaux, restaurant, cinéma, musée se trouvent à proximité.
Simexpo est le Premier Salon Marocain de la Promotion Immobilière à dimension internationale, organisé avec des professionnels, des exposants de haut standing, des promoteurs de l’immobilier ; c’est un espace de rencontres et d´échanges qui prévoit de recevoir des milliers visiteurs.
Les éditions passées ont confirmé, au vu du nombre important des ventes conclues pendant à chaque fois, que l'engouement pour l'acquisition d'un bien immobilier au Maroc par les MRE et les étrangers est soutenu.
Simexpo 2010 a Rotterdam, promet d’être une édition encore plus complète, plus riche et plus proche des attentes des professionnels du secteur immobilier. Le Salon réunira l’offre et la demande de l’immobilier professionnel et présentera des opportunités d’affaires aux opérateurs du secteur. Il permettra également de découvrir de nouveaux projets, de nouvelles tendances et de mieux appréhender les attentes du marché.
En marge au Salon, un programme scientifique et des animations sont prévus, dans le cadre de tables rondes et de débats portant sur le secteur. Des thèmes d’actualité seront traités par d’imminents experts.

Communiqué - eMarrakech

Panique sur Time Square (New-York)


Une camionnette sans plaque minéralogique garée au coeur de Times Square, à New York, a causé l'alarme mercredi, alors que des milliers de citadins et de touristes circulaient autour du site où se concentre la célébration du Nouvel An.
Quelques semaines après une fusillade policière dans le quartier, la police de New York (NYPD)a bloqué une partie de ce carrefour pendant deux heures, à partir de 11 heures du matin. Des unités antiterroristes (ATF)et des démineurs (Squad Bomb) sont arrivés sur les lieux pour identifier la menace, une camionnette blanche usagée, avec une autorisation de stationner fictive sous le pare-brise, garée entre les 41e et 42e Rues de Broadway.
Quelques immeubles ont été partiellement évacué pendant deux heures, jusqu'au retour du déjeuner.
La police se montre extrêmement prudente à la veille du Nouvel An dans ce secteur. Une boule à facettes descend du ciel à minuit le 31 décembre et attirent toujours des milliers de badauds.

http://www.youtube.com/watch?v=A0--3lChaqM

samedi 17 octobre 2009

Casablanca : les premières rames du tramway circuleront en décembre 2012

Le fournisseur du matériel sera connu à la fin du mois d’octobre.
Des études techniques sur la tarification, la circulation à Casablanca et l’impact environnemental sont en cours. Les Casablancais devront prendre leur mal en patience. La première ligne du tramway sera ouverte à la circulation en décembre 2012. Le 1er octobre a eu lieu, en effet, l’ouverture des plis pour la désignation du fournisseur du matériel roulant, suite à l’appel d’offres lancé le 15 juin dernier. L’on connaîtra, d’ici à la fin du mois courant, la société qui remportera ce marché. Sont encore en compétition Alstom transport (France), Ansaldobreda (Italie) et Construcciónes y Auxiliar de Ferrocarriles (Espagne). Les deux autres sociétés qui avaient manifesté leurs intérêts, le canadien Bombardier transport et l’allemand Siemens, n’ont finalement pas déposé d’offres.En parallèle, plusieurs études techniques relatives à la première ligne de 30 km, reliant Sidi Moumen et Hay Mohammadi à Hay Hassani en passant par le centre-ville, sont en cours. Il s’agit, notamment, d’études sur la politique tarifaire, la circulation à Casablanca avec le démarrage du tramway et l’impact environnemental et social du projet.Pour ce qui est du terrain, les travaux en cours actuellement portent sur les déviations des réseaux souterrains (assainissement, eau , électricité, télécommunications ...), entre les boulevards Okba et Mekka. Ils sont effectués par les concernés eux-mêmes, en l’occurrence la Lydec pour l’eau, l’assainissement et l’électricité et les opérateurs télécoms pour leur propre réseau, selon le principe dit de «chantier glissant» ; c’est-à-dire que chaque intervenant travaille sur un tronçon donné avant de céder la place au suivant.Cette première ligne coûtera 6,4 millards de DHLes chantiers sont achevés à 80 %, selon les responsables de Casablanca transport, la société anonyme créée pour piloter le projet. Cette première ligne coLe fournisseur du matériel sera connu à la fin du mois d’octobre.Des études techniques sur la tarification, la circulation à Casablanca et l’impact environnemental sont en cours. Les Casablancais devront prendre leur mal en patience. La première ligne du tramway sera ouverte à la circulation en décembre 2012. Le 1er octobre a eu lieu, en effet, l’ouverture des plis pour la désignation du fournisseur du matériel roulant, suite à l’appel d’offres lancé le 15 juin dernier. L’on connaîtra, d’ici à la fin du mois courant, la société qui remportera ce marché. Sont encore en compétition Alstom transport (France), Ansaldobreda (Italie) et Construcciónes y Auxiliar de Ferrocarriles (Espagne). Les deux autres sociétés qui avaient manifesté leurs intérêts, le canadien Bombardier transport et l’allemand Siemens, n’ont finalement pas déposé d’offres.En parallèle, plusieurs études techniques relatives à la première ligne de 30 km, reliant Sidi Moumen et Hay Mohammadi à Hay Hassani en passant par le centre-ville, sont en cours. Il s’agit, notamment, d’études sur la politique tarifaire, la circulation à Casablanca avec le démarrage du tramway et l’impact environnemental et social du projet.Pour ce qui est du terrain, les travaux en cours actuellement portent sur les déviations des réseaux souterrains (assainissement, eau , électricité, télécommunications ...), entre les boulevards Okba et Mekka. Ils sont effectués par les concernés eux-mêmes, en l’occurrence la Lydec pour l’eau, l’assainissement et l’électricité et les opérateurs télécoms pour leur propre réseau, selon le principe dit de «chantier glissant» ; c’est-à-dire que chaque intervenant travaille sur un tronçon donné avant de céder la place au suivant.Cette première ligne coûtera 6,4 millards de DHLes chantiers sont achevés à 80 %, selon les responsables de Casablanca transport, la société anonyme créée pour piloter le projet. Cette première ligne coûtera 6,4 milliards de DH (45 milliards pour tout le projet). Le matériel roulant retenu comprendra 37 rames de 60 mètres de longueur chacune accessibles sans marche pour faciliter le déplacement des personnes à mobilité réduite. D’après les prévisions, 250 000 passagers emprunteront cette ligne chaque jour, à partir des 49 stations prévues. La fréquence des départs est de 4 à 5 minutes aux heures de pointe.La décision de commencer par cet axe s’explique par la volonté de décongestionner la ville en desservant dans un premier temps les quartiers stratégiques et fréquentés, c’est-à-dire les quartiers d’affaires du centre-ville, le technopark, les gares ONCF. Le tramway constituera à coup sûr une alternative à la voiture personnelle qui reste le moyen de transport le plus utilisé dans la capitale économique, avec toutes les nuisances que l’on sait. ûtera 6,4 milliards de DH (45 milliards pour tout le projet). Le matériel roulant retenu comprendra 37 rames de 60 mètres de longueur chacune accessibles sans marche pour faciliter le déplacement des personnes à mobilité réduite. D’après les prévisions, 250 000 passagers emprunteront cette ligne chaque jour, à partir des 49 stations prévues. La fréquence des départs est de 4 à 5 minutes aux heures de pointe.La décision de commencer par cet axe s’explique par la volonté de décongestionner la ville en desservant dans un premier temps les quartiers stratégiques et fréquentés, c’est-à-dire les quartiers d’affaires du centre-ville, le technopark, les gares ONCF. Le tramway constituera à coup sûr une alternative à la voiture personnelle qui reste le moyen de transport le plus utilisé dans la capitale économique, avec toutes les nuisances que l’on sait.

M.M
La vie éco
12-10-2009

vendredi 18 septembre 2009

Le Pavillon Marocain vous invite aux prochains salons d’immobilier et des maisons secondaires en Belgique et aux Pays-Bas.

Le Pavillon Marocain, dans son prochaine édition, aura lieu dans quelques semaines en participation des salons d’immobilier et des maisons secondaires:
- en Belgique, Second Place, du 25 au 27 Septembre 2009 à Bruxelles, Brussels Expo et;
- aux Pays-Bas, Second Home, du 9 au 11 Octobre 2009 à Utrecht, Jaarbeurs Expo.

Le Pavillon Marocain est vraiment unique avec ce concept d’un salon-dans-salon. On regroupe et on réunit des décideurs et acteurs clés de l'immobilier et des résidences secondaires du Maroc ensemble. Ce concept offre aux profs immobiliers du Maroc des bénéfices énormes. C'est une nouvelle niche pour s’ouvrir sur l’extérieur et il est évidemment la meilleure possibilité pour se présenter sur ces marchés intéressants. Le meilleur bénéfice c’est la possibilité de rencontrer les Marocains Résistant à l’Etranger (MRE) cibles dans ces régions dotées et de profiter aussi par des visiteurs Belges et Néerlandais de ces salons renommés.

Les MRE veulent s’établir et renforcer leurs liens avec leur pays d’origine. Pour cette raison sera ce Pavillon Marocain un lieu idéal pour les MRE Néerlandophones pour bien s’orienter à l’achat d’une maison secondaire où principale au Maroc. Ce qui est frappant c’est qu’un nombre très intéressant de Belges et de Néerlandais s’intéressent au développement du marché immobilier en étranger. Nombreux d’eux souhaitent acquérir un bien-de-rêve au Maroc, mais une petite minorité a accès à l’ensemble de l’offre disponible du Maroc. Ces visiteurs sont également des jeunes, mais aussi des retraités qui disposent d’un pouvoir d’achat élevé et cherchent une maison de rêve surtout ailleurs.

Grâce à la coopération avec ces salons en Belgique et aux Pays-Bas, les exposants Marocains ont sûrement une grande échéance de bénéficier comme celle de ses visiteurs Néerlandais où Belges. D’ailleurs le Maroc peut facilement former une concurrence avec des autres pays participants sur ces salons.

Abdelbasset Zaghdoud de Promo Rocco, initiateur du Pavillon Marocain explique « Le but de notre Pavillon Marocain est d’offrir dans quelques jours, une visibilité optimale d’offre immobilier Marocaine et de donner avant tout une mine inépuisable d’information aux futurs acquéreurs. Les salons partenaires sont le rendez-vous incontournable pour la promotion immobilière et des résidences secondaires à l'intérieur ou à l'étranger. L’importance et leur statut font de ces salons le reflet de la vitalité et du dynamisme d'un secteur en mutation rapide et ce collaboration stratégique donne surement des bénéfices énormes ».

« Il est évident que plusieurs fournisseurs de services immobilier Marocain sont invités, comme; agences immobilières, constructeurs, promoteurs, architectes, banques, assureurs, notaires, et autres représentants du secteur. Nous souhaitons que la gamme de l'offre immobilière Marocain soit fortement présentée pour répondre d’une manière adéquate à la demande de la Belgique et des Pays-Bas. Nous espérons que vous venez se présenter chez-nous ! Ne manquez pas l'occasion de participer aux ces salons en 2009 avec le Pavillon Marocain ! Le Pavillon Marocain vous invite »!

Contact :
Abdelbasset (Bas) Zaghdoud
+31 6 38 55 05 05 www.promorocco.nl
Promo Rocco info@promrocco.nl

mardi 15 septembre 2009

Le complexe immobilier Anfaplace à Casablanca suspendu jusqu’à nouvel ordre

Qu’est-ce qui a bien pu motiver la décision administrative de suspendre les travaux du méga projet immobilier Anfaplace, situé en plein coeur de la corniche «Aïn Diab», à Casablanca et en cours de construction face à la mer ?

Pour l’heure, peu d’informations fiables ne filtrent. Si ce n’est que l’ordre aurait été donné «d’en haut» d’arrêter tout coup de pioche ou de mouvement de tractopelle. Cette décision ferait suite à la présence du roi Mohammed VI à Casablanca. Le souverain était en déplacement au sein de la capitale économique pour une série d’inaugurations et de lancements de chantiers sociaux.Selon une source bien informée, c’est le wali de Casablanca qui aurait informé la direction générale de CB Richard Ellis (CBRE), en charge de piloter le projet immobilier Anfaplace, de suspendre le chantier sur le champ, et ce jusqu’à nouvel ordre. Raison «officielle» invoquée : les désagréments provoqués par le chantier et la présence importante de déchets le long de la Corniche. Du côté du promoteur du projet, on doit avoir dû mal à comprendre et surtout à avaler la pilule. Joint au téléphone, un responsable du Groupe CBRE à Casablanca a eu un mal fou à répondre à des questions ordinaires posées par un journaliste : «où en est l’avancée du projet ?». Ou encore, «qu’en est-il des délais de livraison ?».

Faut-il adhérer à la raison officielle invoquée par le wali ? Postée face à la mosquée du Roi Fahd et de la grande bibliothèque, la présence future de casinos, de discothèques ou encore de pubs, prévus dans le projet immobilier Anfaplace comme du reste des logements résidentiels et des centres commerciaux, ont-ils constitué un facteur de blocage ?C’est une hypothèse probable. Cependant, le contenu du complexe immobilier Anfaplace était connu de l’Etat et de tous les opérateurs publics en charge de délivrer les autorisations administratives pour lancer et mener à bien ce projet. D’où l’étonnement général qui prévaut aujourd’hui chez des professionnels du secteur. «Il se peut que les constructions ne sont pas en conformité avec les plans initiaux. Ce qui est surprenant, c’est la suspension de ce projet alors que le chantier est très avancé. Il faut savoir que des milliards de dirhams sont en jeu», indique un promoteur immobilier casablancais.En tout état de cause, le premier projet immobilier d’envergure construit «pied dans l’eau» en plein cœur de Casablanca, Anfaplace, est au point mort. A noter que des équipes composées de forces auxiliaires ont été dépêchés pour sécuriser les lieux et veiller au respect des consignes.


Source: Rachid Hallaouy

Yabiladi.com

lundi 31 août 2009

L'offshoring face à la crise


Le Maroc à l'abri… à court terme
À moyen terme, les grands donneurs d'ordre pourraient
mettre fin aux contrats avec leurs partenaires.


Face à la crise financière internationale qui fait des ravages, le secteur de l'offshoring, métier mondial du Maroc, est à l'abri, mais vraisemblablement pas pour longtemps.

Telle est en substance la conclusion ressortant de la dernière étude sectorielle réalisée par le Centre d'intelligence économique de la BMCE Bank. En effet, à court terme, constate-t-on dans cette nouvelle publication, « les entreprises étrangères ayant exprimé leur souhait de s'installer dans les zones dédiées (Casanearshore et Rabat Technopolis) ne se sont pas désistées.». Toutefois, à plus long terme, la donne risquerait de changer. Car, lit-on dans l'étude, « les filiales et partenaires des grandes entreprises sous-traitantes pourraient être impactés. Etant organisés de manière hiérarchique, les donneurs d'ordre font appel à de plus petites structures sous traitantes qui leurs mettent à disposition des ingénieurs qualifiés ». Ainsi, dans ce contexte de manque de visibilité, ces grands donneurs d'ordre pourraient, à moyen terme, mettre fin aux contrats avec leurs partenaires. Par conséquent, «le gel des embauches et une éventuelle réduction du volume d'activité deviennent envisageables».Ce scénario trouverait sa justification en outre, selon les analystes de BMCE Bank, dans «une baisse de la compétitivité de l'offre Maroc, laquelle est handicapée par des coûts de main-d'œuvre croissants». Cependant, relativisent-ils, «la réussite de l'objectif de formation de 10 000 ingénieurs annuellement limiterait la pression sur les salaires et permettrait ainsi au Royaume de bénéficier de ses avantages comparatifs». Bien plus, et afin de rester compétitifs, les opérateurs du secteur de l'offshoring ne sont pas restés les bras croisés. Ils se sont engagés dans différentes stratégies. Ainsi, au moment où certains ont multiplié les clients pour ne pas rester tributaires d'un seul donneur d'ordre, d'autres ont opté pour l'extension ou l'acquisition de nouveaux locaux dans le but d'accroître leur activité. De tous les métiers de l'offshoring, c'est le créneau des centres d'appels qui a atteint le niveau de maturité le plus élevé. C'est en effet le plus exploité, à ce jour, au Maroc. Il est considéré comme étant l'une des plus porteurs en matière de création d'emploi et comme ayant un fort potentiel en matière d'investissement. Datant de plus de dix ans, il regroupe actuellement 340 entreprises affiliées à l'Agence nationale de réglementation des télécommunications (ANRT) et employant environ 27000 salariés, contre uniquement près de 200 centres à fin 2007. La majorité des centres d'appels est située sur l'axe Casablanca-Rabat où près de 87% des positions sont concentrées. D'autres villes commencent à attirer de plus en plus de centres d'appels, à l'image de Tanger, Tétouan, Marrakech et Fès. L'analyse financière des entreprises formant ce créneau, faite par les analystes de BMCE Bank, montre qu'elles sont faiblement endettées. Et pour cause, leur adossement à de grands groupes étrangers et nationaux, bénéficiant d'une assise financière solide. A titre d'exemple, en 2007, le taux d'endettement a atteint 1,1% contre 4,1% en 2006. Sur les trois dernières années, le chiffre d'affaires de la filière a enregistré une hausse avec un taux de croissance annuel moyen de 25%. Cette évolution est due, essentiellement, au dynamisme que connaît ce créneau suite à l'annonce du plan Emergence en 2004, encourageant la création de firmes nationales et l'installation de plusieurs entreprises étrangères. Si la prépondérance des centres d'appels n'est plus à démontrer, il n'en demeure pas moins que la diversification de l'offre, en vue de se positionner sur des niches à plus forte valeur ajoutée, est sur la bonne voie. Les derniers chiffres, fournis par le ministère de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles technologies, parlent d'eux-mêmes. En l'espace de pratiquement trois ans, le Maroc a réussi en effet à attirer 35 entreprises de l'ITO (développement et maintenance informatique, techniques de réseaux, administration de bases de données…), employant 3100 salariés et 19 entreprises opérant dans le Business Process Outsourcing ou BPO (assurance offshore, comptabilité normes françaises et IFRS, banque…) créant 1900 emplois. C'est dire que l'offre Maroc, en vigueur depuis 2007, a commencé à produire ses fruits.


Source: Redouane Chakir LE MATIN

vendredi 28 août 2009

Segula Technologies investit au Maroc

Le groupe européen de l’ingénierie et du conseil en innovation, SEGULA Technologies, s’installe au Maroc avec l’acquisition de la filiale SEFCAM dans la zone portuaire casablancaise.
{mosimage}Ce nouvel opérateur de l’industrie aéronautique, qui a réalisé un chiffre d’affaires de 2,5 millions d’euros en 2006, est actif dans la fabrication des pièces élémentaires de tôlerie d’aviation et de leur traitement de surface, ainsi que celle confiée en sous-traitance. Ce site aéronautique au Maroc, représente une entité à la fois exclusive et autonome, se démarquant des autres sites Manufacturing du Groupe Segula Technologies, dont les usines installées en France et en Roumanie, opèrent dans la fabrication et l’assemblage de pièces, dont le traitement de surface est réalisé à SEFCAM au Maroc. Cette division internationale du travail industriel dans l’industrie lourde et de haute précision, que constitue l’aéronautique, place le marché marocain en orbite dans la carte mondiale de Segula Technologies, qui compte plus de 1200 experts sur un total de 5800 collaborateurs répartis, que les sept entités de production sur le vieux continent et en Afrique du Nord. Ce qui permet au groupe de se positionner favorablement sur le marché des offres globales pour les industriels et équipementiers de l’aéronautique et du spatial.
L’implantation de Segula Technologies au Maroc par l’acquisition de SEFCAM et ses 80 collaborateurs, est considérée comme un investissement hautement stratégique dans un pays à «fort potentiel» sur les 14 pays où le groupe international est présent. Et ce choix vaut son pesant d’or à en croire Laurent Lepinoit, Directeur marketing de Segula Technologies, lorsqu’il souligne que «le choix du Maroc n’est guère fortuit et l’acquisition de SEFCAM dans le Royaume est une option stratégique d’investissement durable, dans l’affirmation de la volonté de Segula Technologies, de suivre les donneurs d’ordre, partout dans le monde. Cette nouvelle implantation nous offre de nouvelles perspectives, car le Maroc est un pays à fort potentiel». En effet, nos partenaires champions européens, semblent avoir été séduits par les promesses réelles de développement qu’offre le Royaume, qui dispose déjà d’un tissu d’industriels établis en mécanique, composites et câblage, dédiés à l’aéronautique. Sans oublier une forte concurrence entre les deux grandes industries mondiales des équipementiers du transport aérien et routier, car nombreuses sont les industries automobiles décidées à investir davantage au Maroc. Le Maroc s’est imposé comme un choix prioritaire dans la région maghrébine et en Afrique du Nord, où SEFCAM nourrit de grandes ambitions, pour élargir son offre de sous-traitance aéronautique. En effet, les managers du groupe international ont réaffirmé leur disposition à augmenter, dans une première étape, les capacités locales de production de SEFCAM et, ensuite, de diversifier les activités d’expertise et de fabrication industrielle.

lundi 27 juillet 2009

La Carte Bleue Européenne.

Le principe de la "carte bleue européenne" pour les migrants qualifiés adopté par la Commission


La Commission européenne annonce le 23 octobre 2007 l'adoption de deux propositions législatives sur les migrations économiques: la mise en place d'une "carte bleue européenne" (voir Co-Developpement.Org) et d'une "procédure de demande unique en vue de la délivrance d'un permis de séjour et de travail unique". Ces décisions visent, selon l'institution européenne, à "renforcer l'attractivité de l'Europe pour les migrants hautement qualifiés et améliorer la protection des migrants qui y résident et y travaillent légalement".
L'idée d'une "carte bleue" européenne, conçue sur le même principe que la "green card" aux Etats-Unis, a été émise en septembre par Franco Frattini, vice-président de la Commission chargé de la justice, de la liberté et de la sécurité. Il avait alors précisé que l'Union européenne devrait ouvrir ses frontières à 20 millions de travailleurs migrants d'ici 20 ans.
Lors des débats à la Commission, Franco Frattini a souligné qu'il s'agit de "modifier la manière dont les travailleurs hautement qualifiés perçoivent les marchés de l'emploi européens qui sont réglementés par des procédures d'admission incohérentes. Faute de quoi, l'Europe continuera à n'accueillir que des migrants peu et moyennement qualifiés." Selon lui, ce dispositif doit également permettre de réduire "le risque d'exode des cerveaux des pays en développement".
Garantir les droits fondamentaux
Le détenteur d'une "blue card" européenne aura accès à "une série de droits socio-économiques et des conditions favorables en matière de regroupement familial". La Commission européenne ajoute que, "dans le souci d'épargner aux pays en développement, notamment africains, les effets néfastes de la fuite des cerveaux, la proposition préconise des normes de recrutement éthique afin de limiter -voire d'interdire- le recrutement actif susceptible d'être pratiqué par les États membres dans les pays en développement déjà confrontés à un grave exode de cerveaux".
La proposition de guichet unique pour les demandeurs de visa de travail "vise à simplifier les procédures que doivent suivre les immigrants potentiels". La Commission souhaite qu'elle offre "un socle commun de droits, comparables à ceux des citoyens de l'Union, à tous les travailleurs issus de pays tiers qui ont déjà été admis dans un État membre et y travaillent légalement".
Cette proposition "n'harmonise pas les conditions d'admission applicables aux travailleurs migrants, qui resteront de la compétence des États membres". Parmi les garanties apportées aux migrants figure l'obligation de motiver tout refus et de statuer sur la demande dans un délai de 90 jours. Les migrants pourront également jouir des mêmes droits socio-économiques que les ressortissants des États membres, "notamment en ce qui concerne les conditions de travail et de rémunération, l'éducation, les droits syndicaux et la sécurité sociale".


Source: Commission européenne, http://europa.eu

samedi 20 juin 2009

Maroc Business Service "Haute Trahison"

Le 02 juin 2009, en consultant mes e-mails je reçois un message d'un nouveau client " couple français avec 3 enfants" precisement de la ville de Bordeaux qui souhaite visiter des villas à partir du 15 juin 2009 pour sa futur installation à casablanca et qui occupera un poste au sein d'une société marocaine.
Vue la disposition de beaux produits au sein de notre agence, il nous a confirmé son choix sur l'une des 5 villas qu'il a visité en compagnie de son épouse avec notre agence. Le lendemain ils revisitent la même villa avec une autre société qui n'est que "Maroc business services" qui collabore avec les petits "SAMSARS" de la rue et d'ailleur par lequel elle a pu trouver cette villa, à qui ils ont aussi confirmé leur intérêt en leur annonçant qu'ils ont déja visité cette maison avec notre agence "Casashoreimmo". Lorsque nous avons contacté cette Maroc business service pour avoir des explications sur ce détournement de client la seule réponse que nous avons reçu c'est "on n'y peut rien pour vous" malgré que ce son des amis avec qui nous collaborons sur les produits de notre agence dont ils ne disposent même pas. Et lorsque nous avons contacté notre client , il nous a répondu que cette affaire sera concrétisé avec Maroc Business Service et non pas notre agence. Avec cette haute trahison nous avons remis cet affaire à notre avocat pour faire appel aux deux parties au tribunal de commerce de Casablanca. A toutes les agences immobilières du Maroc soyez prudent et faites bien attention de "Maroc Business Service"

www.casashoreimmo.com

samedi 6 juin 2009

Les portes océanes: Résidences balnéaire à Casablanca

Du port de Casablanca en se dirigeant vers la mosquée Hassan II, des projets géants sont en cour de réalisation. Vue sur mer imprenable, résidentiel et professionnel avec deux îlots de bureaux seront développés pour des superficies de 40.000 m2 SHON et 28.000 m2 SHON. Avec une architecture moderne, tenant compte des exigences environnementales d'économie, d'énergie et de sécurité, ces deux complexes se composeront de cinq immeubles de bureaux de différentes capacités, permettant une offre diversifiée et adaptée au marché. Du point de vue volumétrique, les deux complexes marquent la progression urbaine souhaitée du projet à partir de la grande hauteur du centre d'affaires vers les jardins faisant la transition vers la mosquée Hassan II. Ce mouvement se matérialise par une diminution progressive des niveaux des bâtiments de 14 à 9 en se dirigeant vers la mosquée. 55.500 m² de logements haut de gamme en immeubles de R+9 à R+14. 2 niveaux de parking en sous sol de 950 places(mutualisés avec l'îlot A3). La tour de 40 étages fera perdre la couronne aux tours jumelles du Mâarif, les fameuses Twin.

lundi 18 mai 2009

Le GPS enfin au Maroc

Enfin, le GPS au Maroc est devenu fonctionnel, bonne nouvelle pour tous les marocains (es) qui ont attendu longtemps pour se dotter de cette technologie satellitaire et s'en servir pour mieux connaitre les adresses compliquées. Perdue à plusieurs reprise, aujourd'hui avec mes déplacements sur la métropôle "Casablanca" je voie mes tâches plus facile en utilisant mon GPS qui me permettra de gagner beaucoup plus de temps au lieu de perdre des heures et des heures pour se retrouver sur un lieu précis surtout qu'avec mon activité je parcoure les 4 coins de la ville presque chaque jour.
Premier pays de l'Afrique du nord à être connecté directement avec les bases de données européennes, permettant de naviguer de n’importe quel point en Europe vers le pays, Il couvrira avec ses cartes numériques toute cette zone pour la relier à l’Europe, et représentera une couverture d’environ 70.000 kilomètres, avec cinq villes marocaines : Tanger, Fès, Rabat, Casablanca et Marrakech. Elle inclut 1600 points d’intérêt.

vendredi 15 mai 2009

Grand honneur à la femme marocaine

La femme est l’avenir du Maroc. Déjà, elle s’impose comme l’héroïne du Maroc d’aujourd’hui.
Ce formidable sens du défi, comme si elle voulait dire à la société qu’elle ne s’est pas trompée en lui faisant confiance. Durant les cinq ans de la nouvelle Moudawana, on n’entend presque plus parler que de femmes. Les femmes ministres (7 au gouvernement actuel). Les femmes gouverneurs. Les femmes ambassadrices. Les femmes caïds, et autant que femme ce fut un très grand honneur à la femme marocaine qui ne cesse d'évoluer et partir à l'avance pour rejoindre les autres et s'améliorer en prennant son déstin en main. Plusieurs amies nées en europe et les états unies auraient souhaité appartenir à ce beau Maroc de la Moudawana, car sans l'apport de la femme l'avenir du Maroc ne pouvait s'accomplir.

jeudi 14 mai 2009

Immobilier professionnel : Sidi Maârouf saturé, les entreprises reviennent au centre-ville

39% seulement des entreprises sondées sont installées dans des locaux dédiés aux bureaux.La moitié des entreprises sondées affirme vouloir s’installer dans le centre-ville. Lorsque je suis de passage sur cette zone, j'ai toujours du mal à se garer d'abord, je voie des buldings professionnels saturés par divers multinationales " Informatiques - Services - Compagnies aériennes - Concessionaires et Hotelerie ............"Aujourd'hui, j'évite cette zone malgré les mandats de recherche que nous recevons de la plupart de nos clients qui souhaitent s'insataller dans ce quartier non loin de la zone Offshore et la seule solution c'est de revenir sur le centre ville
" Racine - Gauthier - Anfa - Palmier.......... " ou la majorité des plateaux bureaux avec belles prestations reste disponible et à des prix convenables.

mercredi 6 mai 2009

Port de plaisance"Casablanca Marina"

Enfin Casablanca aura sa propre marina "port de plaisance". En cour de réalisation, des bureaux, commerces et des restaurants seront développés autour du bassin de plaisance ainsi qu'un yacht club, une école de voile et les équipements nécessaires pour la gestion du port qui pourra accueillir des bateaux jusqu'à 25 mètres de long.Impressionnant comme station de plaisance.